9 999 !
Ça c’est un nombre !
Probablement magique ! La raison d’être des nombres n’est-elle pas la magie ? Sinon, on tombe dans les mathématiques de base, dans les petits calculs ingrats.
9 999 !
Cela veut dire que près de dix-mille personnes ont rendu visite à mon blog.
Quel sentiment cela me procure-t-il ? Du plaisir, bien sûr, et de la fierté.
Oh, je sais rester modeste, et je me doute bien qu’il y a parmi ces visiteurs des gens qui sont tombés là par hasard, en se promenant de lien en lien, comme on fait des ricochets sur la surface d’un étang… Mais il y en a forcément d’autres qui sont venus là, exprès, en me cherchant, moi, et ce malgré le peu d’enthousiasme que j’ai mis à entretenir ce blog au cours de la dernière année !
A ceux-là je fais une promesse qui est aussi une promesse à moi-même, celle d’entretenir un peu mieux ce site, même si je n’ai pas de nouvelles transcendantes à annoncer concernant ma vie d’auteur.
Et 9 999 mercis à ces 9 999 passants du net qui se sont arrêtés sur mon petit coin de toile.
Voici quelques articles à propos de mon petit ange !
http://bobd.over-blog.com/2018/11/chers-petits/le-petit-ange-de-penelope-vs-mary-poppins.html
A comme Aguicher,
B comme Bisous,
C comme Contraception,
D comme Divorce…
Mon nouveau livre s’appelle L’Amour avec un grand A. C’est un tout petit livre mais il a une longue histoire.
Capucine, ma complice de BD a fait des aquarelles de différents formats, mais toutes représentaient des couples. L’idée lui ai venue d’en faire un petit livre. En 2012, elle m’a donné les images que j’étalais de temps en temps sur mon bureau en me demandant comment les utiliser… Impossible de raconter une histoire car ce n’était pas les mêmes personnages, et puis les dessins ne représentaient pas d’action…
Après m’être longtemps creusé la tête (heureusement, j’avais d’autres projets qui coulaient mieux), j’ai eu l’idée d’en faire un abécédaire en faisant pour chaque aquarelle un petit texte en acrostiches. Et, à nouveau, j’ai dû me creuser la cervelle, parce que c’est un exercice très contraignant.
Lorsque ma part du travail a été faire, Capucine a repris ses pinceaux pour faire les lettrines (que j’adore !). Ensuite, il a encore fallu trouver un éditeur qui s’intéresse au projet. Grâce aux éditions du Poutan c’est chose de faite !
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