Ce qui est amusant, c’est que cette semaine où je me sentais vraiment aller de l’avant, j’ai eu l’occasion de plonger dans la nostalgie.
D’abord au CDI du collège Claude Bernard, de Villefranche, où je fais des animations, j’ai appris que Les Chevaliers, ou les merveilles de Brocéliande, le livre pour lequel j’ai obtenu une bourse il y a vingt ans, était devenu un e-book, ainsi que N. le Dictateur.
Sans qu’on me tienne au courant, et sans que je sache de quelle manière je serai rémunérée. A titre expérimental, j’ai payé 5,95 € pour avoir mon propre livre : je serai ainsi certaine, si on ne me paie rien qu’il y a escroquerie (petite).
Et samedi, j’ai montré à des amis marseillais mes Ogres sur le mur des écrivains du quai de la pêcherie.Lorsque le mur peint a été inauguré, j’ai eu l’impression d’être admise au Panthéon de mon vivant. Un Panthéon certes beaucoup plus modeste, mais en plein air et surtout au milieu des bouquinistes…
Commentaires
Bonjour,
C'est terrible, une fois publiés, les écrits n'appartiendraient ils plus à leurs auteurs ?
Ceux qui en profitent, certes sous une autre forme, auraient quand même pu se renseigner auprès de l'auteur, surtout quand il est toujours en vie !
Vous pourriez réclamer les droits d'auteur.
Que ceci ne vous empêche pas de continuer dans l'écriture.
Gégédu28